Par : Meagan Collins La sénatrice Lillian Eva Dyck est membre de la Première nation Gordon et Chinoise canadienne de première génération. Elle a grandi dans les Prairies de la Saskatchewan et a fréquenté l'école secondaire à Swift Current, en Saskatchewan, mais elle s'est souvent déplacée entre la Saskatchewan et l'Alberta puisque sa famille gérait plusieurs restaurants.
La sénatrice Dyck raconte que ses intérêts précoces pour la recherche en science se sont développés à la même époque que l'ère spatiale. Son enseignant de chimie, M. John Dyer, a été le premier à l'encourager, elle et son frère, à poursuivre leurs études en science. Lorsqu'on lui a demandé qui lui a le plus enseigné en grandissant, elle a répondu : « Nous avons eu la chance d'avoir de très bons enseignants dans presque toutes les matières. Mes enseignants de biologie et de chimie sont ceux qui ont eu la plus grande influence sur moi. » Elle a déclaré : « J'aimais vraiment les laboratoires de biologie et le travail en laboratoire. »
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Comment est-ce que les étudiants et professionnels indigènes qui travaillent dans les domaines STIM (Sciences, Technologie, Ingénierie, Mathématiques) perçoivent ces différentes disciplines ? Qu’est ce que les a inspiré à travailler dans les domaines STIM ? Comment leurs expériences uniques et leurs perspectives sont un atout ? En tant qu'organisation impliqué dans la diffusion des sciences dans les communautés indigènes, MissionCerveau Nord a interrogé des individus de communautés indigènes, à différents stades de leurs carrières en STIM.
Aujourd'hui, nous rencontrons Adrian Riives, qui poursuit un doctorat en chimie au Rensselaer Polytechnic Institute à New York. Comment est-ce que les étudiants et professionnels indigènes qui travaillent dans les domaines STIM (Sciences, Technologie, Ingénierie, Mathématiques) perçoivent ces différentes disciplines ? Qu’est ce que les a inspiré à travailler dans les domaines STIM ? Comment leurs expériences uniques et leurs perspectives sont un atout ? En tant qu'organisation impliqué dans la diffusion des sciences dans les communautés indigènes, MissionCerveau Nord a interrogé des individus de communautés indigènes, à différents stades de leurs carrières en STIM.
Dans notre prochain épisode d'entrevues " Peuples autochtones œuvrant dans le domaine des STIM ", nous rencontrons Jenna Barnhardt, une étudiante en 4e année de sciences biomédicales à l'Université Ryerson. Jenna nous fait part d'une histoire inspirante sur la façon dont la science représente pour elle une seconde chance et une occasion qui lui permet d'avoir un impact dans sa communauté. Nous apprenons que le chemin de la science n'est pas toujours sans répit et que les différentes escales en cours de route (comme développer sa propre entreprise) peuvent offrir une perspective inestimable. Sans plus attendre, voici Jenna. Comment est-ce que les étudiants et professionnels indigènes qui travaillent dans les domaines STIM (Sciences, Technologie, Ingénierie, Mathématiques) perçoivent ces différentes disciplines ? Qu’est ce que les a inspiré à travailler dans les domaines STIM ? Comment leurs expériences uniques et leurs perspectives sont un atout ? En tant qu'organisation impliqué dans la diffusion des sciences dans les communautés indigènes, MissionCerveau Nord a interrogé des individus de communautés indigènes, à différents stades de leurs carrières en STIM.
Aujourd’hui nous rencontrons Madeline Yaaka, une étudiante en première année du Baccalauréat en Sciences Biologiques à l’Université Queen’s, afin d’en apprendre plus sur la vie des étudiants Indigènes, leurs inspirations, et les défis rencontrés durant leurs parcours vers des carrières en STIM. |
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