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Écrit par Ayuno Édité par Sébastien Figures par Sabine et Airi, avec Biorender.com Traduit par Théo "La distanciation sociale", "lavez-vous les mains", "aplatissez la courbe", "ça va bien aller". Notre mode de vie a considérablement changé depuis le début de la pandémie de COVID-19. Mais pourquoi ? Qu'est-ce que la COVID-19 a de si particulier ? Pourquoi devons-nous en avoir si peur ?
Par: Sabine Rannio, Tranduit par: Théo Badra
Vous avez probablement remarqué que le bout de vos doigts et de vos orteils se froissent après avoir passé un certain temps dans l'eau. Au début, les chercheurs croyaient que c'était simplement parce que votre peau absorbe un peu d'eau comme une éponge, il semble plus probable que ce soit en fait un peu plus compliqué et que cela implique votre système nerveux autonome. Votre système nerveux autonome est une partie du système nerveux sur laquelle vous n'avez pas de contrôle volontaire (d'où le nom "autonome"). Il se divise en deux parties aux tâches opposées : le système sympathique, responsable des réponses "combat ou fuite" et le système parasympathique, chargé du "repos et de la digestion". Par : Meagan Collins La sénatrice Lillian Eva Dyck est membre de la Première nation Gordon et Chinoise canadienne de première génération. Elle a grandi dans les Prairies de la Saskatchewan et a fréquenté l'école secondaire à Swift Current, en Saskatchewan, mais elle s'est souvent déplacée entre la Saskatchewan et l'Alberta puisque sa famille gérait plusieurs restaurants.
La sénatrice Dyck raconte que ses intérêts précoces pour la recherche en science se sont développés à la même époque que l'ère spatiale. Son enseignant de chimie, M. John Dyer, a été le premier à l'encourager, elle et son frère, à poursuivre leurs études en science. Lorsqu'on lui a demandé qui lui a le plus enseigné en grandissant, elle a répondu : « Nous avons eu la chance d'avoir de très bons enseignants dans presque toutes les matières. Mes enseignants de biologie et de chimie sont ceux qui ont eu la plus grande influence sur moi. » Elle a déclaré : « J'aimais vraiment les laboratoires de biologie et le travail en laboratoire. » Comment est-ce que les étudiants et professionnels indigènes qui travaillent dans les domaines STIM (Sciences, Technologie, Ingénierie, Mathématiques) perçoivent ces différentes disciplines ? Qu’est ce que les a inspiré à travailler dans les domaines STIM ? Comment leurs expériences uniques et leurs perspectives sont un atout ? En tant qu'organisation impliqué dans la diffusion des sciences dans les communautés indigènes, MissionCerveau Nord a interrogé des individus de communautés indigènes, à différents stades de leurs carrières en STIM.
Aujourd'hui, nous rencontrons Adrian Riives, qui poursuit un doctorat en chimie au Rensselaer Polytechnic Institute à New York. Comment est-ce que les étudiants et professionnels indigènes qui travaillent dans les domaines STIM (Sciences, Technologie, Ingénierie, Mathématiques) perçoivent ces différentes disciplines ? Qu’est ce que les a inspiré à travailler dans les domaines STIM ? Comment leurs expériences uniques et leurs perspectives sont un atout ? En tant qu'organisation impliqué dans la diffusion des sciences dans les communautés indigènes, MissionCerveau Nord a interrogé des individus de communautés indigènes, à différents stades de leurs carrières en STIM.
Dans notre prochain épisode d'entrevues " Peuples autochtones œuvrant dans le domaine des STIM ", nous rencontrons Jenna Barnhardt, une étudiante en 4e année de sciences biomédicales à l'Université Ryerson. Jenna nous fait part d'une histoire inspirante sur la façon dont la science représente pour elle une seconde chance et une occasion qui lui permet d'avoir un impact dans sa communauté. Nous apprenons que le chemin de la science n'est pas toujours sans répit et que les différentes escales en cours de route (comme développer sa propre entreprise) peuvent offrir une perspective inestimable. Sans plus attendre, voici Jenna. Comment est-ce que les étudiants et professionnels indigènes qui travaillent dans les domaines STIM (Sciences, Technologie, Ingénierie, Mathématiques) perçoivent ces différentes disciplines ? Qu’est ce que les a inspiré à travailler dans les domaines STIM ? Comment leurs expériences uniques et leurs perspectives sont un atout ? En tant qu'organisation impliqué dans la diffusion des sciences dans les communautés indigènes, MissionCerveau Nord a interrogé des individus de communautés indigènes, à différents stades de leurs carrières en STIM.
Aujourd’hui nous rencontrons Madeline Yaaka, une étudiante en première année du Baccalauréat en Sciences Biologiques à l’Université Queen’s, afin d’en apprendre plus sur la vie des étudiants Indigènes, leurs inspirations, et les défis rencontrés durant leurs parcours vers des carrières en STIM. Mis à jour mensuellement! Pour vous abonner, veuillez vous inscrire ici.
Cliquez sur ce billet pour voir le contenu complet de l'édition de ce mois-ci. En Avril, deux bénévoles de MissionCerveau Nord, Megan et Sébastien sont allés à Waskaganish pour enseigner les neurosciences à de jeunes indigènes dans leurs communautés. Ce fut le premier voyage pour Megan et le second pour Sébastien avec MissionCerveau Nord. Tout comme son voyage l’an passé à Kuujjuarapik, celui-ci fut le produit d’un concours de circonstances; Shaun McMahon, le directeur qui a logé Sébastien l’année dernière, a depuis été transféré à la communauté Cree de Waskaganish. Fortuitement, il se trouve que c’est la même communauté où Sébastien a passé deux mois à aider des étudiants à préparer leurs examens ministériels de fin de secondaire en sciences il y a trois ans de cela !
En octobre 2018, Mission Cerveau Nord a envoyé des bénévoles dans une communauté crie de Eeyou Istchee à la Baie James, à Chisasibi, où vivent 4 500 personnes. Mission Cerveau Nord, un organisme dirigé par des étudiants diplômés en neurosciences de l'Université McGill, se concentre sur la vulgarisation scientifique destinée aux communautés autochtones du nord du Québec. Les bénévoles s'efforcent de stimuler l'intérêt des enfants pour les sciences et de les inspirer à poursuivre leur passion pour la résolution de problèmes et l'apprentissage du monde naturel. Pendant trois jours, des bénévoles ont enseigné à environ 200 élèves de l'école primaire Waapinichikush. Ces leçons ont été données aux élèves de la 3e à la 6e année et portaient sur des sujets tels que : pourquoi les cerveaux des animaux ont des formes et des tailles différentes, comment notre cerveau peut nous amener à voir des choses qui ne sont pas là et comment notre attention fonctionne.
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October 2020
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